[Fic] ACWW, les débuts.

J'y travaille depuis 1 semaine donc voilà j'ai tout sur WordPad je vous mets tout à la suite .. Merci et bonne lecture ! ^^

Chapter One.
Une journée comme les autres.

Un petite bête courrait à en perdre le souffle à travers la forêt. Son coeur battant à chaque seconde lui enflait la tête. Échappant à son poursuivant, il ne se laisserait pas faire. Bien qu'il était malheureusement très lent, le raton craignait qu'il n'aurait aucune chance contre son poursuiveur. Trop tard, l'énorme bête lui sauta depuis et le plaqua au sol.

-Je t'ai eu!
-C'est pas du jeu! C'est tout le temps toi qui gagne!
-C'est parce que je suis plus rapide que toi!

Le jeune renard fit un sourire narquois à son ami puis entendit une voix lointaine.

-Rodolph! C'est l'heure de rentrer!

-Ah non... Pas déjà.. Bon bien.. On se voit demain Nook, c'est surement l'heure de manger.
-À demain Rodolph...

Le jeune raton retourna lui-même chez lui en passant par la rivière. Courant de nouveau à travers les arbres, son pied accrocha quelque chose de dur qui lui fit perdre l'équilibre puis, il tomba dans l'eau. Tout mouillé, il sortit bêtement de l'eau et se secoua en cherchant ce qu'il avait heurté. Il avait trouvé, c'était comme une petite roche dure et verte. Il cogna avec sa petite patte sur l'objet bizarre puis une voix venant de la roche retenti.

-Hu hum... Qui va là?

Une petite tête sortit de l'étrange objet puis 4 pattes se formèrent à l'entoure de la pierre suivit d'une petit queue à une des extrémités. Intrigué, Nook renifla l'étrange créature.

-Hey! Oh là! Un peu de politesse.
-Qu'est-ce que vous êtes?
-Je suis une tortue bon dieu! Je me nomme Tortimer et toi, jeune garnement?
-Je suis Nook, un raton laveur. Je n'ai jamais vue un animal de votre espèce.. D'ou venez-vous?
-Je viens d'ici, c'est que nous sortons rarement de l'eau.
-Ah bon.. Eh bien.. Au revoir Tortimer, moi je dois y aller.

Le jeune raton continua sa route en remémorant l'image de la tortue dans sa tête. *Quelle créature bizzare...*


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La petite hérissonne regardait sa soeur d'un air confus. Elle regarda sa cadette magner des feuilles avec ses mains de manière à les enroulées une dans l'autre.

-Qu'est-ce que tu fais bon sens!?
-Je ne sais pas, mais c'est amusent, regarde. Ça fait comme une sorte de revêtement...

En tissant les feuilles, la petite bête eut comme résultat d'un revêtement qu'elle put mettre sur elle.

Plus loin, un grand hérisson apparut à travers les buissons, il perçut ses deux petites filles en train de parler et regarda sa plus jeune enfant en train de jouer avec des feuilles. Il ne comprenait pas ce comportement.

-Que fais-tu Layette?
-J'enroule des feuilles, regarde ce que ça donne papa!

Furieux de son comportement, son père lui enleva brutalement les feuilles des mains et la fusilla du regard.

-Ce comportement est indigne de notre espèce petite effrontée! Nous ne sommes pas des humains! Mais des animaux sauvages!

En larmes, la petite hérissonne partie en courant à travers la forêt. Elle ne comprenait ce que son père voulait dire par ''Nous ne sommes pas des humains''.

CHAPITRE 2
la surprise de Nook

Un jour, les parents de Tom Nook décidèrent d'aller dans les bois, et lui demandèrent de les suivre. Ils avaient marché longtemps, plus d'une demi-heure, et s'étaient retrouvaient dans un coin perdu de la forêt, que Nook ne connaissait pas. Le jeune raton, impattient, demanda :
-"Pourquoi sommes nous partis si loin de la maison ?"
-"Parce que nous voulons jouer à cache-cache avec toi, mais dans un coin que tu ne connais pas, pour pimenter un peu la partie !" répondit son père."tu compte le premier !"
-"D'accord !" répondit Tom Nook.

Et il commença à compter. D'un coup, Tom Nook se retrouva attaché contre l'arbre sur lequel il était en train de compter ! Il se rendit vite compte que s'était son père et sa mère qu'ils l'avaient attaché.
-"Papa ! Maman ! Que faites vous !"
Mais ses parents ne dirent rien, continuèrent leur chemin et laissèrent, seul, le très jeune raton laveur.

Pleurant toutes les larmes de son corps, Nook ne comprenait pas du tout pourquoi ses parents avaient fait ça. Très vite, il se mit à pleuvoir, et les liens, qui n'étaient pas très solide glissèrent, libérant le pauvre Tom Nook. Il vit les traces de ses parents, et commença à remonter la piste, mais très vite, les traces s'éffacèrent à cause de la pluie. Nook, affamé, vit un petit buisson plein de baies, en mangea quelques unes, et continua son chemin, sans savoir où il allait. Bientôt, il vit un petit ruisseau, qu'il avait déjà croisé sur l'aller. Il le remonta, at retrouva enfin, très tard, la maison de ses parents. Lorsqu'il entra, ses parents n'étzient pas là. Il avait fouillé toute la maison : le salon, la salle à manger, la cuisine, les chambres, le jardin... Mais ils n'étaient pas là. De plus, il remarqua qu'il n'y avait plus le moindre meuble, la maison était entièrement vide. Il se rendit à l'évidence : ses parents avaient déménageaient, abandonnant leur fils à son triste sort.

Nook pleura longtemps, longtemps... Très vite, mort de faim et de soif, il voulut sortir, pour retourner près du buisson de baies qu'il avait croisé à coté du cours d'eau.

Mais dehors, sur le paillasson, il vit un imposant animal, grand, gros et d'on verdâtre délavé. Une drôle de créature, mais qu'il lui parraissa familière. Il ne mit pas longtemps à reconnaître cette personne, qu'il était à présent sûr d'avoir déjà rencontré :

En face de lui se trouvait Tortimer.

Chapitre 3 :
Les deux soeur.

Pendant ce temps, Layette et Cousette s'amusaient comme des folles dans leur jardin. Elles jouaient, le plus fréquemment, au 2 vendeuse. Malgrés les avertissements de son père, Cousette ne pouvait s'empêchait de tisser des vêtements avec des feuilles. Elles jouaient souvent, sa soeur et elle, dans un petit coin où n'allait jamais leur père. Layette, elle, n'aimait pas trop tisser mais adorait parler aux gens, et elle voulait absolument voir les dessins des autres. Alors, pour tenir compagnie à Cousette, elle prenait le rôle de "vendeuse" et avait demandait à Cousette de faire des vêtements avec des feuilles de papier vierge, pour demander à l'acheteur de créer son propre maillots. Cela faisait un an qu'elles avaient ouvert leur stand, mais jamais personne n'était venu. Alors Layette, encore très jeune, avait passée des petites annonces dans le panneau d'affichage de la ville pour faire venir du monde. Mais elle n'imaginait pas l'erreur qu'elle avait commis en mettant un simple mot dans le bulletin municipal...

Leur père, qui se balladait par là, apperçu par hasard le mot déposé par Layette. Fou de rage, il se rendit à l'adresse indiquée, et commença à tout détruire. Le long travail de Cousette fut détruit, et les étalages de Layette furent broyés. Une année entière de travail fut saccagée en à peine 5 minutes... Leur père se retourna, fou de rage, et s'écria :
-"COUSETTE ! LAYETTE ! QUE JOUS AVAIS-JE DIS A CE PROPOS ! NOUS NE SOMMES PAS DES HUMAIN ! RIEN DE TOUT CELA NE DEVRAIS ETRE REALISE PAR NOTRE FIERE RACE, NOUS LES HERISSONS ! MAINTENANT, RENTREZ A LA MAISON !"

Cousette foudraya Layette du regard, et courut, avec sa soeur, vers leur maison. Une fois arrivée, leur père, toujours dans une furreur noir, attrappa une grande branche, et fouetta Layette et Cousette, si fort et si longtemps que les deux "hérissonne" saignaient.
-"J'ESPERE QUE CELA VOUS SERVIRA DE LECON ! MAINTENANT, ALLEZ VOUS COUCHER, ET VOUS N'AURAIENT RIEN A MANGER !

Les deux soeurs montèrent dans leur chambre, et, après avoir longtemps pleurer, Cousette dit à Layette :
-"Qu'est qui t'as pris de mettre un mot dans le bulletin ! Maintenant, c'est la quatrième fois qu'il nous découvre, et c'est toujours à cause de toi ! Tu es bête ou quoi ?!?"
Layette, encore tremblante à cause des coups de fouets, répondit :
-"Pardon ! Je n'avais pas penser que..."
Elle n'eût pas le temps de répondre :
-"Ce n'est pas grave, excuse moi de m'être fachée. Mais quatre fois en trois ans, quand même, c'est beaucoup !"
Puis les deux soeurs s'endormirent, après s'être réconssillier...

Le lendemain, elles se promenaient toutes les deux dans le village, mais plusieurs gens avaient remarqués les cicatrices.
Alors, inquiet, il allèrent voir la police, qui fit une enquête, interrogea Layette et Cousette, qui ne voulaient plus gardaient le pesant secret, alors, elles avouèrent. La police alla voir leur père, et qui fut démasqué, car après avoir entendu le discours des policiers, il s'était écrié :
-"LAYETTE ? COUSETTE ? ELLES M'ONT DENONCE ! JE VAIS LES TUER, JE VAIS LES TUER !!!"
Puis il fut embarqué par la police, et enfermé dans une prison, après être passé devant le juge. Les deux soeurs s'étaient rendus à l'évidence :
non seulement, leur mère était décédait peu après la naissance de Layette, et en plus, leur père était devenu fou, juste pour une histoire de vêtements...

Alors elles partirent loin,loin,loin... Errantes, elles avait traversée de nombreuses villes, dans l'espoir d'en trouver une où elles oublieraient leur père, leur mère, leurs problèmes et où elles pourraient fonder leur rêve, fabriquer le plus grand magasin du monde...

Et, un jour de printemps, elles s'arrêtèrent dans une ville du nom de Aniworld ...

Sorry pour les Double msg mais bien obligés ..
Chapitre 4:
De nouveaux amis

-"Oh ! B...Bonjour monsieur Tortimer..." dit tom nook d'une voix tremblante et étranglée.
-"Bonjour, mon petit. Oui, je sais. J'ai vu ce que t'on fait tes parents. Après t'avoir attachés, ils ont foncés droit vers la mairie pour demander de déménager."
-"Ce n'est pas juste ! Pourquoi m'ont ils fait ça ! Ils n'ont pas le droit de..." commença Nook.
-"...Je sais. Le monde est cruel, certains parents sont indignes de leurs enfants. Ils ne méritent pas d'en avoir. Mais ne t'énerves pas, je comprends que cela est dur, mais cela ne dois pas te traumatiser à jamais, au point de te rendre malade. Je connais un endroit charmant, cette ville est belle est tu pourras oublier tous tes ennuis. Je me suis d'ailleurs présenté aux élections pour devenir maire. Si tu te sens trop seul, tu n'as qu'as venir avec moi, je sais comment tu souffres. Ne t'inquiète pas, je suis une tortue, pas un monstre !" continua Tortimer en souriant.

Nook, trop en colère et triste, refusa net.
-"Bon, et bien, si tu change d'avis, tu sais où me trouver !" dit Tortimer en lui tendant un bout de papier.
-"Voici le plan pour y aller. De nombreux taxi peuvent t'y emmener. Cette ville se nomme Aniworld. A bientôt, je sais qu'on se reverra !" lança Tortimer avant de disparaître à l'horizon dans un vieux taxi conduit par un canard vert. Nook, toujours énervé, jetta la carte à la poubelle, alla manger des baies et boire l'eau de la rivière, puis alla se coucher sur le sol de la maison, en rêvant encore et encore à cette affreuse journée...

Le lendemain matin, Nook était en route pour Aniworld (et oui, il n'y à que les imbéciles qui ne changent pas d'avis ! )
avec la carte récupérée de la poubelle. Un taxi l'emmena, et dans l'après-midi, il fut arrivé dans la ville d'Aniworld, accueillit par Tortimer, qui était resté sur l'arrêt de taxi toute la journée, sûr de l'arriver imprévut de Nook.
-"Mon enfant! N'avez-je pas raison ? Cette ville est vraiment merveilleuse, tu ne trouves pas ?"
-"Euh... Bonjour M.Tortimer... Et ben, voyez-vous, je viens seulement d'arriver et..."
-"Oh oui, excuse moi ! Je suis impatient, vois-tu ? C'est amusant car deux filles, deux hérissonne pour être exact, sont arrivée hier ! Elles ont ouvert un magasin de vêtements assez *****, ont peut créer ses propre vêtement en dessinant dessus, vois-tu ? C'est très amusant ! Tu pourrais allez les rencontrer ! Voici leur emplacement sur ta carte. Oh, et si tu as du temps, passes voir les autres habitants de la ville, ils seront ravis de rencontrer un nouvel habitant !"
-"D'accord M.Tortimer..." répondit Nook.
Il alla donc voir les deux jeunes filles...

-"Oh ! regarde soeurette," dit Layette, "on dirait un petit renard !"
-"C'est un raton-laveur," répondit Cousette, "il a l'air gentil. Il doit être nouveau, je ne l'ai jamais rencontrée !"
-"Bon...Bonjour..." dit timidement Nook. "Je m'appelle Tom Nook. Et vous ?"
-"Bonjour ! je m'appelle Cousette, et voici ma soeur Layette !"
-"Echanté !" répondit poliment Layette.
-"C'est un beau stand !" répondit Nook. "Je peux dessiner un tee-shirt ,"
-"Oui, gratuitement si tu veux !" Répondit Layette. [...]

Alors les nouveaux amis racontèrent leurs vies, leurs origines, leurs arrivés dans la ville, les mésaventures... Ils se rendirent compte qu'ils avaient de nombreux points communs, et se voyaient tous les jours. Charmé par leur travail, Nook voulut devenir leur associé. Layette et Cousette acceptèrent, et Nook resta un petit moment avec elle. Mais, très vite, il se lassa des vêtements, et voulut vendre d'autres articles, utiles ou pas, que l'on utulisait dans la vie de tous les jours, comme les meubles, les cannes à pêche, ... Alors il ouvrit son propre stand avec des planches bois, qu'il plaça juste à côté du stand des "soeurs doigts de fée" (leur slogan), pour discuter avec ses nouvelles amies. Et même si personne ne venait jamais, Nook et les deux soeurs furent contents : ils avairnt oubliés leurs soucis, leurs problèmes... Ils étaient enfin heureux. leur seul client était Tortimer, qui ne venait pas pour les articles, mais pour voir les enfants jouaient ensemble, oubliant leurs problèmes, et pour les encourager à coninuer leur commerce. Tortimer leur donnait aussi de l'argent de poche toutes les semaines, et était heureux de voir les enfants s'amusaient autant. Les réunirs dans cette ville les avait transformés d'enfants tristes à enfants heureux. Tortimer était soulagé de voir les enfants aussi joyeux.

Tout semblait parfait, jusqu'au jour où ...

Chapitre 5 :
Le rival de Nook.

[...] Jusqu'au jour où arriva Rounard. C'était un petit renard un peu plus agé que Nook, et qui semblait un peu... bizarre.
-"Bonjour, tu es nouveau ici ?" demanda poliment Cousette.
-"B'jour. Y'a des flics qui trainnent dans le coin ?" J'm'appelle Rounard, le roublard. Et, cette ville est bizarre, non ? Y'a qu'des poires, par ici. Ca vous interresserez d'aut'fruits comme des pommes, par exemple ?"
-"Oh oui, pourquoi pas !" dit gentillement Tom Nook.
-"1000 clochettes pièce"
-"1000 clochettes pour un pomme ?!" explosa Layette, "tu nous crois très riches ou très idiots ?! Jamais de la vie ! Tom les rachètes 500 clochettes pièce ! En plus, elle est peut être en mauvaise état !"
-(soupir) "C'est toi l'fameux Tom dont parle la gamine, là ?"
Layette crut qu'elle allait exploser.
-"LA GAMINE ?! C'EST MOI LA "GAMINE" ?! ATTENDS UN PEU TOI, TU VAS ..."
-"attends !" dit Nook, "j'ai peut être une idée... Laisse nous 5 minutes Rounard, d'accord ?"
-" 'Peut pas."
-"Pourquoi ?" s'impattienta Nook.
-" 'trop risqué. Vous pourriez appellez les flics." riposta
sèchement Rounard.
-" Les flics ? Tu es recherché par la police ? Je le savais ! Je le savais ! Dès la première que je l'ai vu, je savais qu'il était pas net ! Pour vendre une pomme à ce prix là, de toutes façons, il faut être louche !" s'énerva Layette.
-"Ne t'inquiète pas. On n'a pas de téléphone." dit Tom Nook, sans ce soucier de Layette.
-"bon, ok, mais pas plus de 5 minutes !" répondit Rounard.
-"Voilà," commença Nook, "c'est certes un peu chère pour nouzs, mais immaginez : on la plante, on l'arrose, l'arbre pousse, on a trois nouvelles pommes, on les réenterre... et on les vends toutes ! On va vite devenir riche, à se rithme là !"
-"Nan. Si il est recherché par la police, c'est qu'il est pas net. Laissons ce genre d'individu." dit Layette.
-" Non, il ne doit pas être comme ça. Tu vois, il n'a pas de parents, lui non plus, il a peut être le même problème que nous !" chuchota Nook.
-"C'est vrai, tu peux au moins lui laisse une chance." dit Cousette.
-" Bon d'accord, essayons, pour voir."
-"On est d'accord," dit Nook, mais elle est en bonne état ?"
-" Pleine de vie !" dit Rounard. "Suivez-moi, je vous ammène dans ma tante."

Et les trois amis suivirent le mistérieux Rounard jusque dans sa tante...

-"Nous y voici," dit Rounard, "ma bonne vieille tante !"
La tante était mal installée, bougeait au moidre coup de vent et était toute petite. Mais Rounard parraissait drôlement fier de sa tante. Ils entrèrent donc à l'int"rieur, et parrurent un peu à l'étroit. La tante ne comprenait presqu'aucun article, mais ces objets parraissait drôlement rare et difficile à trouver pour un si petit renard...

-" Oh, toi aussi tu est vendeur ?" dit Nook, admiratif.
-"Mouais, surtout vendeur au marché noir !" répondit Layette.
-"Layette !" chuchota Cousette en lui donnant un coup de coude.
-"Ouais, mais c'est pas du marché noir !" fit Rounard, toujours aussi froid. "Filez-moi d'abord le fric, et vous aurez la pomme après !"
-"d'accord." dit Nook.
-"Merci. Voilà votre pomme. Il lui tenda une superbe pomme bien rouge et bien mûre, et très brillante, même un peu trop.
Mais cette pomme semblait... bizarre. Nook l'examina attentivement, puis, surpris, s'écria :
-"Mais... elle est en plastique !"
Tous se regardèrent.
-"Qu... Zut... Je suis démasqué..." fit doucement Rounard.
-"ESCROC ! PAS ETONNANT QUE TU SOIS RECHERCHE PAR LA POLICE ! RENDS NOUS NOTRE ARGENT, AVANT QU'ON APPELLE LA POLICE !!!" cria Layette, aussi rouge que la pomme par sa colère.

-"Calmez-vous," dit Rounard, vite redevenu très froid, "c'est vrai, j'ai tenté de vous rouler. Et alors ? Tout le monde fait ça. C'est le seul moyen pour gagner de l'argent. Vous n'escrocquez pas vos clients ? Pas étonnant que personne ne vient chez vous. Les gens sont si bête, on pourrait leur faire avaler n'importe quoi. Tout d'abord, il faut voler des objets rares, pour leur en mettre plein les mirrettes, puis on le vend cher alors que c'est de la pacotille ! Et lorsqu'ils s'en rendent compte, je suis déjà parti depuis longtemps ! C'est ça la clef de la réussite !"
Tom Nook était troublé.
-"Tu.. tu le crois vraiment ? Tu crois vraiment que les gens sont tous tes pigeons ? Qu'il faut les escrocquer ? Les gens ne servent pas à gagner de l'argent. Tu dois vivre en harmonie avec eux, sympatiser, parler, passer un bon moment, et leur vendre de la qualitée. Tes clients doivent être tes amis, des compagnons.
-"Arrête ta leçon de moral, tu me dégoutes. Tu crois ce que tu veux, mais je peux t'assurer que ma technique est la meilleur. Tu veux une preuve ? Regarde, vu l'argent que tu possèdes, tu vois vivre dans la misère, et ne recevoir aucun clients ! Tandis que moi, je roule sur l'or et tout le monde vient me voir ! Pense ce que tu veux, mais je serais toujours plus riche que toi !

Alors Nook, ne penssant même plus à son argent, s'en alla, très énervé, sans comprendre comment un vendeur pouvait tomber si bas. Alors Rounard replia sa tante, parti vers une autre ville sans un regard en arrière, avant de disparaître à l'horizon...

Et les deux enfants, qui aurait pus devenir et amis et cooéquipiés, se quittèrent froidement sans comprendre la façon de vendre de l'autre.

-"Quel imbécile !" pensèrent les deux vendeurs en même temps.
chapitre 6 :
L'étrange arrivant.

Un beau jour d'été, les trois amis étaient devant leurs stands, comme d'habitude, vide. La journée était brûlante, et des multitudes d'insectes et de poissons nageaient ou volaient tranquillement dans le eau ciel bleu et sans nuages. C'est alors que les inséparables amis entendirent :
-"Au secours ! A l'aide ! Les monstres ! Ils sont là ! Ils se rapprochent, ils m'attaquent ! Non, non, NOOOOOOOOOOOOOOOON !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

N'écoutant que son courage, Tom Nook fonça vers la voix. Très vite ils fut sur les lieux, et il vit un petit hibou, qu'il n'avait jamais vu, évanoui sous une multitudes de papillons. Nook les dispersa, prit le corps innocent et l'amena au près de Tortimer.

-"Hummm ... Il est évanoui. Il devra rester au lit une semaine. En revanche, je ne comprends pas pourquoi il s'est évanoui. Tu es sûr de l'avoir entendu crier : "Au secours des monstres ! ", mon petit ?"
-"Oui monsieur. " fit Nook. "Il va s'en sortir ?"
-"Oui, bien sûr. Mais ce qui est encore plus étrange, c'est que je ne l'ai jamais vu dans le village, et son arrivé ne m'as pas était signalée. En attendant, ne vous inquiéter pas, vous pouvez reprendre vos activités, je vous enverrez du courrier dès qu'il sera sur pieds, ou plus tôt sur pattes. Je vais le garder au près de moi, à la mairie. Opélie, Elisabec, vous m'aiderez, n'est-ce-pas ?"
-"Bien sûr !" répondit la petite "pélicane", excitée.
-"Ouais, t'inquiète, on est sûr le coup !" dit Elisabec, mais qui pensait :
-"Punaise, une semaine à s'occuper de cet imbéciles hyper-peureux ! Ça promet d'être bien embêtant !"

Alors Nook s'en alla, la tête pleine de questions :
-qui était ce mystèrieux hibou ?
-comment était il arrivé ici sans être apperçu ?
-pourquoi s'était il évanoui ?
-y avait il vraiment des monstres dans leur paisible village ?

Tom Nook était très inquiet, et il ne dormit pas de la nuit.

chapitre 7 :
le petit hibou

Quelques jours après, Tom Nook reçu une lettre de la part de tortimer, ^ù il était inscrit :
"bonjour, mon petit Nook. Ca va ? Le petit hibou a repris connaissance ! il s'appelle Thibou, et voudrais rencontré son "héros" ! alors viens vite !"

Tom Nook se précipita alors vers la mairie,et apperçu le petit hibou
-"Bonjour," dit il tremblotant, "c'est toi Tom Nook ?"
-"Euh ... oui c'est bien moi" repondit Tom Nook,"tu vas mieux ?"
-"Oui, merci beaucoup de m'avoir sauver de ces horribles monstres !"
C'est alors que Nook se rappella des cris de détresses du petit hibou.
-"Mais, je n'ai vu aucun monstres !" fit il.
-"Pourtant c'est bien la saison ! il y en a partout ! ces horribles..." il ne put terminer.
-"QUOI ?!? UNE SAISON ? les monstres n'ont pas de saisons, ils ..." il ne put lui non plus terminer sa phrase.
-"Oh, je crois que nous ne parlons pas du même genre de monstres !" dit gentillement Thibou, "je parlent de ces horribles, ses désastreux insectes que vous appellez "papillon". Ils sont monstrueux !
-"Quoi ? Tu as peur de simples papillons ? Ces petites bêtes si mignonnes et gentilles ?"
Tom Nook était rassuré. Ils n'y avait aucun monstres dans sa ville, juste des insectes !
-"QUOI ?!?" Thibou faillit s'étrangler, "TU TROUVES CES BETES "GENTILLES" ? "MIGONONNES" ??? TU ES FOUS ! ILS SONT HORRIBLES ! DESASTREUX ! MOSTRUEUX ! HIDEUX ! TU SE QUE TU VEUX MAIS PAS "MIGNONNES OU GENTILLES" !!!!
-"Calmez-vous !" fit Tortimer. "Thibou a tout simplement peur des insectes. Toi, Tom Nook, de quoi a tu peur ?"
-"Bah... des monstres justement !"
-"Voilà ! Tout le monde a peur de quelque chose ! Thibou est insectophobe, et toi ... monstrophobes ? Bref, tout le mondes a des phobies !"
-"Oui, pardon Tortimer, on ne recommenceras plus a se disputer pour des bêtises pareils !" firent les deux enfants.
-"Tu viens Thibou, je vais te présenter a des amies, des habitants, et te faire visiter la ville ! tu verras elle est géniale ! Et ne t'inquiéte pas, je chasserais les insectes avec mon filet !" proposa Nook.
-"D'accord, dit Thibou, allons-y !"
Et ils partirent en direction de la ville.

Après que les présentations soient faites, Thibou, charmé par le travail des 3 amis, décida d'ouvrir lui aussi un petit commmerce, ou presque :
un grand musée (qui pour l'instant n'était pas si grand que ça) où les gens ammenait leurs poissons, insectes, tableaux ou fossiles en tout genre, et Thibou se faisait une joie de les collecter. Pour l'instant, les seuls donnateurs étaient Tom Nook, Layette et Cousette, mais il était heureux d'être entouré de ses amis, et même si personne ne venait visiter son musée, il s'amusait et était serein, insouciant du reste du monde, dans son petit univers, plein de joies et de couleurs aves ses trois nouveaux amis.

Et il décida de s'installer dans cette merveilleuse ville, Aniworld.

chapitre 8 :
Un amusant facteur !

Un jour, Tom Nook, Cousette, Layette et Thibou s'amusait à envoyer des pierres grâce aux lances-pierres fabriqués et offerts pas Nook à ses 3 amis.
-"Encore un cadeau !" cria Cousette, "Ca m'en fait 8 !"
-"Oh, je ne sais pas visé !" protesta Layette, "je n'en ai pas eu un seul en 2 heures de temps !"
-"Voilà mon 6ème !" dit Thibou.
-"Et ça m'en fait 12 !" réondit triomphament Tom Nook.
Mais Layette interrompit leur conversation.
-"Regardez ! C'est quoi là-haut ?"
-"On dirait... mais oui ! C'est le facteur ! On va lui jouer un petit tour ..." ricana Cousette, "A toi de jouer, Tom !"
Et le jeune raton lança une pierre sur le pauvre oiseau.

Pendant ce temps, dans les airs ...
-"I beliv, I can fly ... I beliv, I touch sky ... Hein ? mais qu'est-ce-que ... ?!"
La pierre heurta l'aile de l'oiseau de plein fouet.
-"AAAAAAAHHH !!! MAYDAY ! MAYDAY ! JE SCRATCHE !!!!!!"
Il s'écrasa aux pieds des enfants.

-"Ooops ... filons d'ici !" dit Cousette,"Avant que ..." Cousette ne termina pas sa phrase.
-"Eh ! Pas si vite les enfants !"
-"Excusez-nous, monsieur, nous ne voulions pas ..."
-"VOUS NE VOULIEZ PAS ??? ALORS QUE POURTANT LA PIERRE SEMBLAIT AVOIR ETAIT TIREE PAR UN TIREUR D'ELITE POUR M'ARRIVER EN PLEINE AILES ! J'AI BIEN CRU QUE ..."
-"Ne vous inquietez pas, Antoine, je connais bien ces enfants, ils ne pourrez as faire une chose pareil. Vous pouvez reprendre votre route sans tracas, je veillerai à ce que vous ne soyez plus embêté. De plus, je vous dédomagerais de 1 000 clochettes pour ce malheureux incident."
-"J'ESPERE BIEN, OUI ! SINON MOI JE DEMMISSIONNE ! J'EN AI MARRE DE TOUJOURS ME FAIRE TIRER DESSUS PAR LE MOIDRE GARNEMENT !"
Puis il parit péniblement et s'envola vers l'horizon lointain...

-"Oh ! monsieur Tortimer ! Merci de nous avoir aidés ! Nous ne voulions pas ..." commença Tom Nook.
-"Oh que si que vous vouliez. Je sais d'ailleurs bien que c'est toi qui a tiré cette pierre. Mais ne t'inquiete pas. Si je vous ai aidé, c'est parce que, étant jeune, tout les enfants tirent sur les pauvres facteurs ! Moi même, étant jeune, je me suis amusé à lancer des pierres sur ces pauvres oiseaux ... Bon, c'est pas tout ça, mais je dois y aller moi. A plus les jeunes !"
Et il partit sans se retourner.

-"En tout cas, une chose est sûr, il est vraiment cool le Tortimer !" dit Layette.
-"Oui, je suis bien d'accord avec toi, soeurette." répondit Cousette.
-"Sur ce coup là, je suis bien d'accord avec vous !" fit Thibou.

-"Oui, vous avez raison." dit Tom Nook.

"Bon, on recommence ?"


chapitre 9:
L'étrange oiseau.

Les 4 amis se remirent alors à jouer avec leurs lances-pierres, en visant tout ce qui bougeait. C'est alors que Thibou s'écria :
-<>
Les enfants s'apperçurent qu'un étrange objet volait dans le ciel.
-<< C'est un extra-tererstre !>> dit Layette, la plus jeune.
-<< Mais non ! Ca n'existe pas ! >> répondit Cousette.
Alors, pour en avoir le coeur net, Nook tira une pierre qui arriva en plein dessus.
-<< Ce truc est en feu !>> s'écria Thibou, << Tu n'aurais pas dût...>>
Il n'eût pas le temps de finir que Tom Nook décocha une deuxième pierre.
CRAC !
Il y eût un gros bruit, et l'OVNI s'écrasa quelque part.
-<< C'est parti en direction de la mairie ! >> fit remarquer Layette.
-<< Allons-y ! >> s'excita Cousette.

Les enfants coururent alors vers la mairie, et apperçurent une grand OVNI juste à côté !
Une porte s'ouvrit et un étrange oiseau en costume bizarre sortit.
-<< Oh ! Il devrait venir au magasin ! Il n'a aucun goût vestimentaire ! >> fit remarquer Layette.
-<< Chut ! >> la gronda sa soeur.
L'oiseau parla :

-<< Bonjour, je m'appelle Gulliver. C'est vous qui avait cassés ma soucoupe volante ? >>
-<< Je vous l'avez dit ! >> s'écria Layette, << c'est un extra-terrestre ! >>
-<< Oui, c'est vrai, >> affirma Gulliver, << mais vous n'avez pas répondu à ma question : est-ce bien vous qui avez cassés ma soucoupe neuve ? >>
-<< OH ! Je t'avais prévenu, Nook, >> s'inquiéta le peureux Thibou, << Maintenant, il va nous gronder, noud emmener avec lui sur sa planète et il va faire des expériences sur nous ! On va devenir ses cobayes ! Ils faut nous en aller ! VITE ! >>
-<< Hein ? C'est CA qu'on pense de nous ? C'est ça que les gens pensent des extra-terrestres ? Nous avons étaient bien rabaissés avec le temps ! Bien sûr que non que je ne vais pas vous emmener avec moi ! Mais j'aimerais tout de même, comme ce sont vous les résponsable, que vous m'aidiez à réparer mon vaisseau : retrouver mon engrenage perdu quelque part dans votre ville, et je pourrais ne plus vous en vouloir ! Le passerai l'éponge sur votre petite bêtises ! Tous les enfants en font, des bêtises, non ? Aidez-moi, et je vous donnerais même une petite récompense... >>

Et les enfants partirent donc à la recherche de l'engrenage disparu. Après minutes de recherche, ce fût Tom Nook qui retrouva la pièce manquante.

-<< Merci beaucoup pour votre aide ! Maintenant, je vais pouvoir retourner chez moi ! Au fait, j'oubliez, voici votre récompense ! >>

Ils leurs lença à tous une sucette, ainsi qu'une belle petite planète miniature à Tom Nook pour pouvoir la mettre dans sa maison.
-<< Aurevoir à tous ! Je ne vous oublierez jamais ! >>

ET sur ces dernières paroles aux amis, Gulliver et sa soucoupe repartirent vers le ciel, puis la galaxie, et disparurent aux yeux des enfants.
ILs restèrent longtemps muets, en contemplant le ciel dans l'espoir de revoir la soucoupe volante, et en repensant à leur incroyable rencontre.

-<< En tout cas, une chose est sûr,>> dit enfin Nook après de longues minutes, << moi, mon lance-pierre, je le range ! >>


Chapitre 10 :
La tristesse de Thibou.

... et c'est ainsi que les 4 amis, après leurs deux étranges rencontre avec leurs lances-pierres, décidèrent de les ranger dans un coffre qu'ils lancèrent à la mer. Bizarrement, Thibou avait brutalement cassé son lance-pierre au lieu de le ranger, et la malle ne contenait de ce fait que 3 des instruments. Tom Nook, Layette et Cousette trouvait que leur ami avait beaucoup changé depuis leur première rencontre, d'ailleurs. La première fois, il était émerveillé de son petit musée, des habitants, jouait sans cesse avec ses amis, fréquentait régulièrement leurs magasin, mais ces derniers temps, il allait souvent, seul, à la plage où il lançait des cailloux dans l'eau d'un air lassé.
Un jour, ses amis voulurent savoir ce qui lui tourmentait le cœur, et il leur répondit froidement :
-<< Absolument rien. Je veux juste être seul. Et si vous venez m'embêter ici, j'irai trouver la tranquillité AILLEURS.

Mais, un jour, à force de le tourmenter, Thibou finit par avouer :
-<< Bon, d'accord. Vous voulez vraiment savoir ? Et bien voilà. >>
Il alla droit au but.
-<< J'avais une sœur, avant, et une famille. Un jour, alors que nous survolions le pays, des pierres furent lancés sur nous, et ma sœur ne parvînt pas a éviter l'une d'elles. Et elle tomba, loin, dans l'horizon. Je me précipita vers elle, mais, imprudent en voulant la sauver, je fus touché moi aussi et me scratcha dans la direction OPPOSÉE de ma sœur, et tomba ici, à Aniworld. Quand à nos parents, trop préoccupés à éviter les projectiles, partirent et nous laissèrent seuls. ET MA FAMILLE ME MANQUE !!! >>
Il éclata en sanglots et partit dans sa maison, et barricada la porte. Il ne sortit que trois jours après, n'ayant plus d'eau et plus de nourriture chez lui. Et ses amis l'attendaient de pied ferme, plantés juste devant chez lui.
-<< Nous avons bien réfléchis, et savons comment retrouver ta soeur ! >> lui annonça Nook.

Une lueur d'espoir éclaira le visage du jeune hibou, mais disparut aussitôt.
-<< Non, on ne peut pas la retrouver. >>
-<< Ah bon ? Pourtant, je sens qu'elle n'est pas si loin ... >> fit Layette d'un air sournois.
- << Layette ! C'était censé rester secret ! >> gronda Cousette, sa sœur.
-<< Bonjour ... >> fit une petite voix qui provenait de derrière les 3 enfants.

Et le visage de Thibou se raidit en entendant cette voix si familière pour le jeune hibou.



Chapitre 11 :
Et encore un !

- << Céléste ? C'est... c'est bien toi ? éléste ?! CELEEESTE !!!!>>

Et Thibou sauta dans les bras de sa sœur. Les retrouvailles furent émouvantes, étrange mélange entre la joie, la tristesse, les cris et les larmes de joies réunis. Après un bon quart d'heure de fête, Thibou prit enfin la parole :
-<< Mais... mais... comment l'avez vous retrouvée ? Je la croyais perdue à jamais ! Comment...>>
-<< C'est très simple,>> commença Tom Nook, << J'ai regardé dans le ciel où tu avais été séparé de ta sœur. J'ai donc approximativement deviner dans quelles environs elle était tombée.>>
-<< Ensuite,>> compléta Cousette, << nous avons demander à Tortimer de nous prêter une carte des villages et avons donc su où se trouvait ta sœur !>>
-<< Il nous a donc suffit d'aller voir Maret et Chausset, et ils nous ont ouvert les portes vers Animaya, et une fois arrivés, ils nous a suffit de bien hercher, et avons convaincus ta sœur de nous suivre !>> termina joyeusement Layette.
-<< Oh, les amis...>> fit Thibou, <>
-<< Tout simplement en redevenant notre ami !>> répondirent les 3 compères en cœur.
-<< Bon, tu viens Céléste, on va te faire visiter ton nouveau village ! >> proposa gentiment Nook.

Et ainsi fut dit, ainsi fut fait.
Céléste leur raconta comment elle était tombée sans se blessée en atterrissant dans un arbre, puis comment elle s'était cachée des habitants qui la terrifiée en restant dans l'arbre dans l'attente des ses parents, et en se nourrissant des fruits qui y pousser.
Ensuite, Tom Nook et sa bande lui montrèrent la ville, la présenta à Tortimer, qui rit en voyant un nouveau, une plutôt une nouvelle petite garnement se rejoindre au groupe, les habitants l'accueillirent bras ouverts. Ils lui montrèrent aussi leurs commerces, et après que chacun est expliquer comment il s'est retrouvé(e) dans cette ville, Astrid décida de s'installer avec son frère dans sa maison, qu'elle trouva d'ailleurs bien décorée. Elle décida aussi de devenir l'assistante de Thibou, qui en fut ravi.
Et un an après, avec ses économies de travail acharnés en tout genre et sans dépenser un sou, elle put réaliser son rêve :
acheter le plus grand télescope du monde, une valeur de 1 million de clochettes.
Thibou agrandit son musée avec ses économies mais aussi celles de ses amis, qui lui donnèrent gentillement la moitié de leurs clochettes, ce qui attendrit le jeune Thibou. Grâce à l'agrandissement, le télescope géant fut placé au deuxième étage, ouvert à tout public désirant observer le ciel et les constellations. La fréquentation du musée augmenta considérablement, au grand plaisir de Thibou.

Tout allait pour les mieux, jusqu'au jour où...
J'ai la fleme de continuer mdr ..
Je verrais plus tards si je continue

Ta fiction est super bien !! =)
Dommage que tu ne la continue pas...au fait, vers la fin, tu as dit "Astrid" au lieu de "Célèste"